La phrase que l’on a le plus attendue durant la pandémie est ; le confinement à la maison c’est pour le bien de tous.
Est-ce vraiment le cas ?
Un sondage récent auprès des maisons d’hébergement confirmait ce dont on se doutait. La pression du confinement fut plus pénible pour les femmes et enfants vivant dans des milieux, où la violence règne.
Le centre Colibri, Centre pour femmes francophones du comté de Simcoe, a dû redoubler d’efforts pour répondre à la demande. J’en ai discuté avec sa Directrice générale, Mme Jo-Anne David. Elle me dit entre autres que des cas d’alcoolisme et toxicomanie s’ajoutent aux fardeaux des femmes:
Elle nous dit aussi qu’il a fallu s’adapter à diverses situations pendant la pandémie:
Est-ce que le retour à une certaine normalité va aider à mieux gérer la situation ? Si cette normalité est du bonheur pour certains, il y a des chances que ça soit plus difficile pour d'autres.