Le service juridique du Centre francophone du Grand Toronto est un point d’entrée pour une majeure partie des nouveaux arrivants francophone dans la région. Néanmoins, certains des travailleurs qui y sont passés et ont offert leur expertise s’envolent parfois vers le secteur privé. C’est le cas de Maître Carl, qui, après quatre ans dans un cabinet spécialisé dans l’immigration en affaire, ouvre son propre cabinet.
L’avocat qui exerce depuis presque dix ans dans la région du Grand Toronto a pu voir différents profils de demandeurs de visa, du statut de réfugiés à celui d’employé transféré des États-Unis au Canada. Les cibles d’immigration francophone annoncées par le gouvernement sont pour lui un objectif intéressant s’il est atteint, car il estime qu’il va falloir faire des efforts pour trouver les candidats éligibles.
Entrevue avec Marine Ottogalli :