Produit en France et au Canada, le long métrage Ça tourne à Saint-Pierre et Miquelon est présenté aux cinéphiles ténois du 3 au 8 novembre, dans le cadre du Festival international du film de Yellowknife.
Un périple en terre inconnue, sur fond de paysages vertigineux, à s’écouter réfléchir bien loin de la frénésie urbaine. Certains expatriés du Grand Nord se reconnaitront sans doute dans l’héroïne de Ça tourne à Saint-Pierre et Miquelon, dernière réalisation du cinéaste Christian Monnier. Tournée sur l’archipel français, à 12 km des côtes de Terre-Neuve, cette comédie met en scène une actrice française profondément urbaine, qui apprend malgré elle à vivre au rythme de ses songes et tourments, et d’une culture insulaire située à des lieues de la mondanité parisienne.
Le journaliste Thomas Ethier en a discuté avec le réalisateur Christian Monnier: