Le mardi 21 février, plus d’une vingtaine de résidents ont pris part à la réunion mensuelle publique du conseil municipal de Saint-Quentin. Le sujet des villes intelligentes a occupé une place considérable, où certains citoyens ont exprimé leurs inquiétudes envers l’intelligence artificielle ainsi que d’un manque possible de transparence du conseil municipal.
Les villes intelligentes font extrêmement jaser sur les réseaux sociaux ces derniers temps et les opinions sont mitigées. En effet, certains vont même affirmer que la municipalité de Saint-Quentin aurait travaillé à huis clos afin de devenir une « smart city » gérée par l’intelligence artificielle.
Pour distinguer le vrai du faux, il va sans dire que certaines méthodes peuvent s’avérer infructueuses. Celle préconisée par les citoyens de Saint-Quentin hier soir, était là bonne selon la mairesse Nicole Somers.
On le dit et redit, on prône la transparence ici. Venir aux réunions et nous poser directement ses questions, c’est la meilleure façon de connaître la vérité. – Nicole Somers.
Sur le site de l’Association des Cités du Nouveau-Brunswick, on apprend qu’une ville intelligente est une « expression relativement nouvelle qui s’entend généralement d’une communauté qui intègre de façon efficace la technologie, les données, les lieux bâtis et les systèmes humains en vue de créer un avenir durable, prospère et inclusif pour ses citoyens. » Plusieurs villes comme Montréal, Toronto et Londres sont considérées comme telles depuis plusieurs années.
Le reportage de Maxime Gauthier: