Les joies d’enseigner à Tête-à-la-Baleine selon Britanie Rainville

Dans une classe primaire, une jeune femme appuyée à une table haute sourit à la caméra.
Britanie Rainville, enseignante à l'école Gabriel-Dionne. (Photo : Pénélope Clermont)
Pénélope Clermont - CJTB - Tête-à-la-BaleineQC | 11-02-2022
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Pour clore la 28e Semaine des enseignantes et des enseignants, CJTB s’est entretenu avec Britanie Rainville, une enseignante de l’école Gabriel-Dionne, à Tête-à-la-Baleine. Une manière de saluer le travail qu’accomplissent les enseignantes auprès des jeunes du village, tout en mettant en relief la dynamique particulière qui règne à l’intérieur des murs de l’établissement. 

Si plusieurs enseignants au Québec se plaignent d’un ratio d’élèves trop imposant, la réalité de Britanie est tout autre. Enseignante auprès de trois élèves, une du primaire et deux du secondaire, la jeune femme arrivée à Tête-à-la-Baleine en janvier 2021 est en mesure de profiter pleinement des joies de son métier en ayant la chance de développer une relation privilégiée avec les jeunes humains à qui elle permet de progresser.

Dans cet entretien que Britanie nous a accordé, elle nous explique d’abord depuis quand elle habite à Tête-à-la-Baleine et dans quel contexte elle est venue s’installer ici pour pratiquer son métier :