Le seul établissement psychiatrique à sécurité maximale de la province fait face à un recours collectif de plus de 200 millions de dollars pour son utilisation de l'isolement cellulaire de l'isolement et du confinement. Le procès, qui n’a pas été certifié par un tribunal, accuse le centre Waypoint de Penetanguishene d’être responsable de négligence, voies de fait, manquement à l’obligation fiduciaire envers les patients et violation de leurs droits humains . Dans la poursuite on indique que «Dans le cadre de ces programmes, les patients sont confinés dans des chambres d'isolement ou dans leurs propres chambres pendant des jours, des semaines et parfois des mois , sans recevoir le délai minimal et les stimulus sociaux requis qui sont largement reconnus et acceptés par les normes médicales et internationales ».
De son côté Waypoint nit catégoriquement les allégations, qui n’ont pas encore été prouvées devant le tribunal.
Voici les détails de cette histoire racontée par notre journaliste