Le Bloc québécois aborde la question du bien-être des aînés et du logement social

Marilène Gill propose de donner un coup de main aux collectivités qui ont des besoins en logements sociaux. – Photo courtoisie
Marilène Gill propose de donner un coup de main aux collectivités qui ont des besoins en logements sociaux. – Photo courtoisie
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur email
Partager sur print

La députée de Manicouagan Marilène Gill a organisé une soirée discussion sur la question du bien-être des aînés et du logement social en compagnie de la députée de Shefford Andréanne Larouche, porte-parole du Bloc québécois pour les dossiers sur les aînés et de Denis Trudel, député de Longueil-Saint-Hubert et porte-parole du parti en matière de solidarité sociale.

Il s’agissait d’un format de discussion particulier qui permettait aux citoyens de partout dans la province de poser leurs questions directement aux députés et d’échanger avec eux.

Comme le rappelait Marilène Gill, il est de la nature même des députés d’être en contact avec leurs concitoyens pour défendre leurs intérêts et, compte tenu de la pandémie, ce type de rencontre virtuelle permet de maintenir ce lien avec la base.

La porte-parole du Bloc québécois pour le dossier des aînés Andréanne Larouche a rappelé les combats de son parti pour demander au gouvernent fédéral d’augmenter jusqu’à 35% les transferts en santé et le financement des CHSLD, de même que les pensions aux aînés et certains services de soutient.

Denis Trudel, ancien comédien et actuel député de Longueil-Saint-Hubert et porte-parole du Bloc québécois en matière de solidarité sociale demandent quant à lui au gouvernement fédéral d’investir davantage en matière de logement social et de logements abordables.

Marilène Gill ouverte à aider la Basse-Côte-Nord

Si les députés participants veulent soutenir les organismes de défense des droits des aînés et les militants en faveur des logements sociaux et abordables dans leurs démarches, ils reconnaissent que la tâche peut être plus ardue dans les régions plus éloignées où les organisations communautaires sont moins présentes.

« Moi à Longueil et des organismes de défense des droits en logements il y en a un méchant paquet, j’ai beaucoup d’interlocuteurs. (…) C’est une problématique que je découvre où tu n’as pas d’interlocuteur, pas personne pour aider » avoue le député Denis Trudel.

De son côté, Marilène Gill soulignait que la majorité de la population de la Basse-Côte-Nord est considérée comme aînée. Elle se propose pour donner un coup de main à la population s’il y a un besoin de pour des logements sociaux abordables.

« Si je suis capable de faire des ponts avec les gens, il serait possible de créer une organisation pour en mesure d’aider les gens. Ça montre à quel point les besoins se déclinent de façon différente et que ce serait dommage que des gens qui ont de grands besoins n’arrivent pas à se qualifier et à déposer des projets parce qu’ils n’ont pas le moyen de se faire. »