La pandémie n'offre pas des conditions de travail faciles pour personne. De plus, l'isolement fait en sorte qu'il est de plus en plus difficile pour les employeurs de repérer les cas de maladie mentale chez leurs employés. Le stress accru, l'anxiété et la dépression sont tous des effets secondaires de la pandémie de COVID-19 et, pour certaines personnes, cela se manifeste sous la forme d'un sentiment d'impuissance et de désespoir, et même de pensées suicidaires. C'est pourquoi la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) publie une ressource dont le but est d'orienter ces conversations à la fois difficiles et extrêmement importantes en milieu de travail.
Notre journaliste IJL, Sandra Sirois, en discute avec le vice-président aux affaires publiques de la Commission de la santé mentale du Canada, Michel Rodrigue :