"Il n'est jamais trop tôt, il est toujours trop tard" comme dirait Max Gallo. Le refus du premier ministre de l'Alberta, Jason Kenney, d'imposer un confinement lorsque les cas de COVID-19 ne cesse d'augmenter à vue d'oeil commence à se retourner contre lui. Selon quelques sondages effectués dans les derniers jours, le premier ministre de l'Alberta aurait une des pires cotes de popularité au pays. Le chroniqueur politique, Philippe J. Fournier, croit même qu'une partie de son électorat pourrait changer d'avis aux prochaines élections.
Notre journaliste IJL basée à Edmonton, Sandra Sirois, s'entretient avec lui à ce sujet :