Les dés sont jetés ! Alain Dion, maire de Girouxville, a annoncé, la veille, que le village ne pourrait se permettre financièrement d'aider la clinique de Falher. Il nous donne en détail les raisons de cette décision.
Les coupes budgétaires infligées à l'ensemble des municipalités de l'Alberta pour le budget 2021-2022 sont en train de saigner à blanc plusieurs municipalités du nord de l'Alberta. Le village de Girouxville ne fait pas exception et doit faire des choix difficiles. D'après le maire, certains services ne sont même plus financés par la province depuis 2020. Selon lui, le choix de ne pas financer pour la seconde année la clinique de Falher semble être un dommage collatéral de ces coupes budgétaires, mais c'est aussi l'arbre qui cache la forêt en matière de politique provinciale.
Alain Dion craint de voir l'année fiscale devenir encore plus floue, passé 2023, partage-t-il à la journaliste, IJL, Hélène Lequitte.