Février, un mois sans alcool pour combattre le Cancer

Les bénéfices du mois sans alcool: peau, perte du poids, meilleure santé mentale et physique, meilleur sommeil, plus d’énergie. Photo: Pixabay
Les bénéfices du mois sans alcool: peau, perte du poids, meilleure santé mentale et physique, meilleur sommeil, plus d’énergie. Photo: Pixabay
Tabitha Mukamusoni - CFRG - GravelbourgSK | 04-02-2021
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur email
Partager sur print

Chaque année, la campagne Dry Feb invite le public à ne pas boire une goutte d'alcool durant les 28 jours du mois de février afin de contribuer à la lutte contre le cancer. Depuis son lancement, il y a 6 ans, Dry Feb a collecté plus de 2,3 millions de dollars pour la recherche sur le cancer. Radio prairie FM a voulu connaître les avis des uns et des autres sur ce mois sans alcool. Les personnes rencontrées à Gravelbourg n'étaient pas au courant de cette bonne initiative mais elles l'apprécient. Certains trouvent que ce n'est pas un bon mois pour se priver de l'alcool par le simple fait que c'est le mois de la Saint Valentin. D'autres trouvent que c'est une bonne initiative pour les gens qui dépendent de l'alcool et ils s'engagent à participer à cette initiative en diminuant la consommation d'alcool pendant ce mois. Cette année, ce mois sans alcool est arrivé en période de pandémie de covid-19. Selon un sondage de la firme Nanos datant de l’année dernière, la pandémie a causé l'augmentation de la consommation d'alcool chez un canadien sur cinq. Cette société déclare que la consommation d’alcool accroît les risques de cancer comme le cancer du cerveau, le cancer du sein, ou encore le cancer du pancréas. La Société canadienne du cancer souhaite aussi mettre de l’avant les autres avantages d’un mois sans alcool. Elle mentionne une meilleure santé mentale et physique, un meilleur sommeil, plus d’énergie ou encore la perte de poids.  Selon Elizabeth Holmes, porte-parole et gestionnaire en politiques de santé de la Société canadienne du cancer malgré l’augmentation d’alcool en raison de la pandémie, il y a aussi plus de personnes qui souhaitent diminuer, voire même arrêter complètement, la consommation d’alcool.