FÉÉCUM: l’implication politique en arrache en temps de pandémie

Une silhouette de main qui dépose qui vote dans une boite de scrutin
Les élections de la FÉÉCUM ont eu lieu plus tôt cette semaine (Photo: Pexels)
Pierre Duguay-Boudreau - CKUM - MonctonNB | 26-02-2021
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Cette année, seuls trois étudiants se sont présentés aux quatre postes disponibles sur le conseil exécutif de la Fédération des étudiants et des étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM).

Bien que certains semblent inquiets du montant d'intérêt que les étudiants démontrent envers la politique universitaire, la situation est loin d'être alarmante selon les dirigeants de la fédération.

«C'est la première fois qu'on a un poste vacant, ceci dit ça reflète l'année qu'on a eue. La plus grosse critique de passer à l'éducation en ligne c'était la surcharge de travail. Je peux voir que les étudiants sont moins intéressés à s'impliquer sans savoir à quoi l'année prochaine va ressembler.» C'est ce que mentionne Pierre Losier, directeur général de la FÉÉCUM.

Losier occupe son poste depuis 2011. Il a déjà été un membre du conseil exécutif, entre autres comme président au début des années 2000. Selon lui, le mouvement et l'implication étudiante sont aussi forts que le sujet d'actualité:

 

Emily Muckler, récemment ré-élue à la vice-présidence interne de la Fédération, est du même avis que son directeur général:

« Ce n'est pas nécessairement inquiètent [...] il a y beaucoup de monde, moi-même inclus, qui ont eu de la difficulté à managé tous les cours [...] beaucoup d'étudiants qui voulaient s'impliquer, mais n'étaient pas prêt-à-faire le saut à cause de l'incertitude de l'an prochain. »

Pour l'entrevue complète avec Emily Muckler et d'autres détails concernant la politique étudiante: