COP 26 : Fairy Creek ou le paradoxe temporel

Banderole accrochée dans des arbres sur laquelle on peut lire : Last Stand for Ancient Forests
Visible sur le bord de la route Pacific Marine, où se situe le camp de Road Side
Angélique Germain - CILS - VictoriaBC | 05-11-2021
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur email
Partager sur print

À l’heure où les dirigeants politiques du monde se réunissent pour la COP 26 dans l’idée de prendre des décisions pour faire face aux enjeux climatiques, des incohérences et des paradoxes persistent sur le terrain… On peut déjà citer un engagement pris à Glasgow, pour lequel le Canada s’est engagé : mettre fin à la déforestation d’ici 2030. 

Or, certaines situations requièrent une attention urgente. Exemple : Fairy Creek. Ici sur l'île de Vancouver, il est question de massacre forestier pour les uns, et d’exploitation forestière pour d’autres. Et au milieu, il y a la Police…

 

Pour mieux comprendre la situation de l’intérieur, Angélique Germain a tenu à se rendre sur place pour se rendre compte de la réalité du terrain et recueillir des témoignages. 

 

Au loin des arbres, au centre un abris, une tente ouverte sous laquelle des personnes s'abritent, au premier plan, 9 bidons d,eau

Le camp de Road Side (Photo : Angélique Germain)

 

 

Immersion dans l’univers de Fairy Creek :