Apprendre de l’expérience des aînés à l’Université Sainte-Anne

MaryAnn Gauvin, la coordonatrice du projet Relais, parle à une foule composée d'ainés et d'étudiants.
(Photo : Gilles Saulnier)
MaryAnn Gauvin, la coordonatrice du projet Relais, parle à une foule composée d'ainés et d'étudiants. (Photo : Gilles Saulnier)
Gilles Saulnier - CIFA - ComeauvilleNS | 07-12-2022
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Un projet partagé entre le Conseil de développement économique de la Nouvelle-Écosse et le Regroupement des aînés de la Nouvelle-Écosse jumelle des étudiants de l'Université Sainte-Anne avec des aînés.

La première de cinq rencontres entre un groupe d’aînés et d’étudiants en administration des affaires de l’Université Sainte-Anne pris lieu au Rendez-vous de la Baie sur le campus universitaire jeudi dernier. Cette rencontre voyait onze étudiants internationaux à la fin de leurs études et onze aînés se jumeler dans le cadre du projet Relais. Le Rassemblement des aînés de la Nouvelle-Écosse (RANE) et le Conseil du développement économique de la Nouvelle-Écosse (CDÉNÉ) souhaitent que les aînés puissent conseiller les étudiants quant à l'arrivée sur le marché du travail et le monde de travail, ainsi que faciliter leur participation communautaire.

Arona Diop, étudiant originaire du Sénégal, est derrière un podium d'où il parle à une foule.

Arona Diop, étudiant originaire du Sénégal en administration des affaires, présente aux participants (Photo : Gilles Saulnier)

Le projet est en sa deuxième itération, après le projet pilote de l’année passée avec 5 pairs. C'est une autre occasion de « mettre à profit le vécu des aînés », selon la directrice générale du RANE Veronique Legault. Les présentateurs à la soirée jeudi ont voulu mettre en évidence le succès de projet pilote, qu'ils ont suggéré d'avoir contribué à l'embauche de deux des étudiants participants.

L'animateur culturel pour Communauté francophone accueillante (Clare) a aussi présenté au groupe pour souligner que le projet s'agit d'une expérience d'apprentissage culturelle. En fait, les aînés choisis à participer ont été sélectionnés en partie grâce à leur engagement communautaire, d'après la coordinatrice du projet de la RANE.

Le reportage intégral de Gilles Saulnier :