Une rentrée scolaire montréalaise sécuritaire, mais avec des zones d’ombre

Kathleen Legault vêtue de blouse noire.
La présidente de l'AMDES, Kathleen Legault (Photo: Gracieuseté de Mme Kathleen Legault)
Sophie Stanké - CINQ - MontréalQC | 02-09-2021
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur email
Partager sur print

L’année scolaire a officiellement débuté cette semaine pour les enfants du Grand Montréal, cependant le plan du ministre Jean-François Roberge est arrivé quelques jours seulement avant la rentrée ce qui a laissé très peu de marge de manœuvre aux directions d’écoles pour se préparer.

Le port du masque en tout temps est maintenant exigé en classe pour les élèves du primaire et du secondaire. Contrairement à l’année dernière, les classes-bulles ne sont maintenant qu’un vague souvenir et les élèves pourront participer aux activités parascolaires.

En ce qui concerne le retrait d’un élève, qui a testé positif à la COVID-19 : « Nous savons que l’enfant doit être retiré de la classe, mais là il reste encore des zones d’ombres, on ne ferme pas la classe, est- ce qu’on est la fratrie ? Aussi Montréal accuse un retard en ce qui concerne la vaccination pour les enfants par rapport aux autres régions, ce qui n’aide pas à l’immunité collective » a souligné   Kathleen Legault, présidente de l’association montréalaise des directions d’établissement scolaire (AMDES).

Kathleen Legault était au micro d’Info Centre-Ville :