Dans le cadre du mois de la prévention de la violence familiale, des améliorations ont été apportées au service 211 pour les victimes de violence conjugale, sexuelle ou familiale. Le service fournit maintenant davantage de renseignements sur les programmes et services offerts en province.
Les améliorations ont été faites au niveau des répartiteurs, qui répondent directement aux appels. Ceux-ci ont suivi une formation sur les services disponibles pour les victimes. La formation a eu lieu le mois dernier et a été offerte par la Direction de l'égalité des femmes.
Lors de la formation, la Direction a abordé les modèles de comportement, les risques et les façons de communiquer avec les appelants victimes de violence.
« La pandémie de COVID-19 a accentué l’importance de l’accès à l’information, car certains survivants et survivantes sont encore plus isolés des ressources, souvent par un partenaire violent », a déclaré la ministre responsable de l’Égalité des femmes, Tammy Scott-Wallace. « Informer les survivants, les personnes qui ont été témoins de violence et les personnes qui ont recours à la violence dans leurs relations sur les services offerts dans leurs communautés permet de réduire l’isolement et de renforcer la sécurité. »
Daniela Fernandez, directrice de l'engagement communautaire du 211, parle du besoin du service dans les communautés :
Le 211 est tout d'abord un service de renseignement bilingue qui relie les néo-brunswickois aux services sociaux, communautaires, gouvernementaux et de soutien. Les répartiteurs aident les gens à trouver rapidement les programmes et les services adaptés à leur situation.
Selon le ministre du Développement social, Bruce Fitch, ces améliorations permettront d’assurer que toutes les personnes obtiennent l’aide et le soutien dont elles ont besoin.