D’après un sondage provisoire avec le conseil des pêches de Manicouagan, la population nord-côtière s’est montrée ouverte à la pêche récréative du homard, mais certains regroupements de pêcheurs se sont montrés défavorables.
Une grande partie de la population demande un accès au fleuve Saint-Laurent et des questions ont été posées afin de connaître les raisons de l’interdiction de la pêche non commerciale du homard au Québec.
Voici l’entrevue avec Marilène Gill, députée de Manicouagan :