Une nouvelle loi appuiera l’éducation publique en français en Nouvelle-Écosse

Trois hommes et une femme en avant du drapeau acadien.
De gauche à droite: Colton LeBlanc, ministre des Affaires acadiennes et de la Francophonie; Becky Druhan, ministre de l'Éducation; Marcel Cottreau, président du CSAP et Michel Collette, directeur général du CSAP. (Photo: Gouvernement de la Nouvelle-Écosse)
Daniel Aucoin - CKJM - CheticampNS | 13-10-2023
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur email
Partager sur print

Une nouvelle loi appuiera les programmes d'éducation publique en français langue maternelle pour assurer la réussite des élèves acadiens et francophones de la Nouvelle-Écosse. La loi du Conseil scolaire acadien provincial (CSAP)  renforce les responsabilités et les pouvoirs existants du Conseil et réitère l'engagement de la Province à collaborer avec le CSAP.

On apprend qu'il s'agit de la première loi ciblant l'éducation en français langue maternelle en Nouvelle-Écosse et au Canada. Marcel Cottreau, président du CSAP, applaudit le projet de loi.

«Le dépôt de ce projet de loi marque un moment historique pour notre communauté et un pas significatif vers un meilleur avenir. Ce projet de loi permettra de concrétiser l'unicité langagière et culturelle du CSAP. Nous sommes reconnaissants du travail collaboratif entre le gouvernement et le CSAP qui a mené à ce projet de loi.»

Rappelons que le CSAP a la responsabilité d'offrir l'éducation en français langue maternelle en Nouvelle-Écosse. Un total d'environ 6300 élèves fréquentent les 23 écoles du CSAP de la province.

Notre journaliste Daniel Aucoin de Radio CKJM a discuté de la nouvelle loi avec Marcel Cottreau: