Le témoignage d’un nouvel arrivant haïtien à Edmonton sur la violence généralisée des gangs en Haïti

Un homme avec une arme à la main, habillé en noir, une casquette sur la tète autours de lui des hommes armés l'entourent aussi
Jimmy cherisier, un ancien policier haïtien qui se fait convertir comme l’un des puissants chef de gang, il dirige le G9. (Photo: Emmanuel Merson)
Élie Nkulu - CFED - EdmontonAL | 14-09-2023
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La situation politique en Haïti se dégrade. Une équipe de responsables kenyans est en Haïti pour explorer la meilleure façon d’aider la nation à combattre le fléau de la violence des gangs.

La force est destinée à aider le service de police en sous-effectif et en sous-effectif d’Haïti, avec seulement environ 10 000 officiers pour plus de 11 millions d’habitants du pays. Du 1er janvier au 15 août, plus de 2 400 personnes en Haïti auraient été tuées, plus de 950 enlevées et 902 autres blessées, selon les statistiques les plus récentes des Nations Unies.

On estime désormais que les gangs contrôlent jusqu’à 80 % de la capitale de Port-au-Prince, avec plus de 200 000 personnes déplacées après que des gangs ont pillé et incendié leurs maisons.

Les détails dans cette entrevue :