Le rapport Harrison, visant à favoriser la viabilité financière du système d’éducation postsecondaire, a été rendu public à la mi-novembre. Le chapitre six était consacré aux « Système d’éducation en français pour les étudiantes et étudiants francophones et de FLS », ciblant particulièrement l’Université de l’Ontario Français (UOF) et l’université de Hearst.
L’Université de l’Ontario Français a publié une réponse « musclée », selon son recteur, Pierre Ouellette, notamment en regard d’une introduction qui biaise la lecture et de la publication de faux chiffres. Le recteur déplore un manque de nuances et de compréhension de la politique du « par et pour » les francophones. Néanmoins, confiant, il reste optimiste face à ce qui « n’est qu’un rapport ».
Entrevue avec Marine Ottogalli :