À chaque élection fédérale, la question revient dans les tribunes médiatiques. Celle de l’utilité d’élire des députés et un parti qui ne prendra jamais le pouvoir au Parlement canadien.
Gérald Larose, travailleur social, syndicaliste professeur et ancien président de la confédération des syndicats nationaux se sont penchés sur la question. Il a indiqué que les résultats du vote du 20 septembre dernier ont envoyé un mandat fort pour le Bloc Québécois à Ottawa.
« Il existe encore deux solitudes dans notre pays et cela n’a pas débuté avec le débat en anglais, ce mépris envers notre peuple est là depuis longtemps. Tout comme ce mépris pour notre langue, le français, qui va disparaitre si on n’en s’occupe pas sérieusement, j’ai bien peur que nous nous retrouvions comme en Louisiane. Le Bloc Québécois est notre seule voix à Ottawa et est là pour qu’on puisse nous entendre » a déclaré Gérald Larose.
Gérald Larose était au micro d’Info Centre-Ville :