La rumba congolaise: patrimoine culturel immatériel de l’humanité

Un homme avec des lunettes et un chapeau melon, une canne entre ses mains, un collier de coquillage autours de son coup devant un micro.
Monsieur Tshimilenda Kalenga Mwamba Anciennement officier militaire de la haute cavalerie et de l’arme blindée, il est leader, stratège, encadreur et concepteur de projet et polyglotte. (photo Capture Elie Nkulu)
Élie Nkulu - CFED - EdmontonAL | 09-12-2022
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Le 14 décembre 2021, l’UNESCO a reconnu la rumba congolaise 5 ans après l’inscription de la rumba cubaine comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Désormais à Kinshasa, à Brazzaville et ailleurs, on célèbre dans cette date la reconnaissance de ce phénomène musical, culturel et social.

La rumba congolaise est à la fois un genre musical et une danse. Monsieur Tshimilenda Kalenga Mwamba, un Edmontonien originaire du Congo-Kinshasa, y voit une fierté pour la culture des deux Congo.« Il s’agit d’un patrimoine musical que nous devons partager maintenant ».

« Ce joyau culturel propre aux deux Congo est reconnu pour sa valeur universelle »

- Félix Tshisekedi, le président de République démocratique du Congo (RDC)

Monsieur Mwamba va présenter samedi 10 décembre trois séries de la Rumba Congolaise dans l’Émission Tam - Tam Afrika à Radio Cité, pour démontrer quelle est la perspective compétitive, titre illustratif, écrire une encyclopédie de la rumba congolaise et faire des écoles sur la rumba congolaise. La rumba congolaise doit donc s’adapter, se recréer, dans la musique mondiale, sur le plan économique et culturel.

En entrevue avec Monsieur Tshimilenda Kalenga Mwamba: