La conseillère du district 13, Pam Lovelace, a été élue aujourd’hui par ses collègues conseillers pour servir l’année prochaine comme adjointe au maire de la Municipalité régionale d’Halifax.
La nouvelle adjointe au maire prend la relève de l’adjoint au maire Tim Outhit, qui a occupé le poste pendant les 12 derniers mois.
Pam Lovelace, adjointe au maire d'Halifax (photo : gracieuseté Pam Lovelace)
« Je suis vraiment honorée de la confiance que mes collègues du Conseil m’ont accordée. En tant que nouvelle conseillère régionale, je suis émue de la confiance du Conseil dans ma capacité de servir Halifax en tant que nouvelle adjointe au maire pour l’année à venir. Alors que notre municipalité équilibre la croissance sans précédent que nous connaissons avec les nombreux défis auxquels nous sommes confrontés, y compris la relance économique après la COVID-19 et le changement climatique, je suis déterminé à accroître les communications avec nos citoyens, à bâtir des collectivités plus solides et plus résilientes, et à travailler avec tous les intervenants pour résoudre les défis et saisir les occasions ensemble », a déclaré l’adjointe au maire Pam Lovelace.
Membre du conseil régional depuis 2020, Pam Lovelace a fait carrière de vingt ans dans les communications et la gestion de projets. Pam Lovelace est également la représentante élue de la municipalité au partenariat acadien, l'assemblée des organismes francophones de la municipalités qui oeuvrent pour développer des initiatives conjointes.
Elle est récipiendaire de prix de bénévolat de l’année décernés à Halifax et à la province de la Nouvelle-Écosse, entre autres distinctions, dont l’épinglette du 150e anniversaire de la Confédération canadienne et la mention élogieuse du ministre des Anciens Combattants. En 2020, Lovelace a obtenu la certification nationale en gestion de projet agile.
Pam Lovelace fait actuellement partie de nombreux comités, conseils et commissions municipaux. Elle s'est notamment engagée pour la modification des noms de lieux dans la municipalité qui utilisent encore le terme "indien" pour les remplacer par des noms Micmac qui selon les différentes parties prenantes seraient plus pertinents et seraient un pas de plus vers la réconciliation.