Le début de la semaine a été haut en émotions pour la Ferme du Rigolet. L’organisme établi à Tête-à-la-Baleine a vu son projet de serre prendre forme au moment même où ses premiers fruits trouvaient un généreux acheteur.
Le premier acheteur des fraises de la Ferme du Rigolet, Chad Nadeau, en compagnie de Marie-Hélène Pilon-Choquette, directrice de l'organisme. (Photo : Pénélope Clermont)
Les premières fraises de la Ferme du Rigolet ont en effet été cueillies lundi et les employés ont candidement eu l’idée de lancer un encan parmi les résidents du village afin de vendre leur premier casseau. À la grande surprise de l’équipe, les enchères ont atteint la somme de 100,10 $ et c’est ainsi que Chad Nadeau est devenu l’acheteur du premier casseau de fraises portant le logo de la Ferme du Rigolet.
Le jour même, l’organisme avait aussi entamé la construction de sa serre sur le terrain de la paroisse du village. CJTB s’est rendu sur place, mardi, alors que l’équipe installait la dernière arche du toit, finalisant l’assemblage de la structure principale du bâtiment.
Au cours des dernières semaines, la Ferme du Rigolet a également procédé au déboisement d’une autre parcelle de terre afin que le CEDFOB, le Centre d'expérimentation et de développement en forêt boréale, puisse venir y planter de l’orpin rose en octobre. Ce terrain accueille aussi depuis l’été dernier des arbustes et arbres fruitiers.
Pour écouter l’entrevue que l’équipe de la Ferme du Rigolet a accordée à la journaliste Pénélope Clermont (NDLR - la directrice de la Ferme du Rigolet, Marie-Hélène Pilon-Choquette, et la journaliste sont conjointes) :
