Suite à une année marquée par les cours en ligne et un campus relativement vide, le processus électoral de La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton est bien en marche et va se conclure aujourd'hui.
Pour les quatre postes exécutifs de la fédération, présidence, vice-présidence interne, vice-présidence externe et vice-présidence académique, seulement trois sont convoités.
C'est Mathilde Thériault, étudiante en travail sociale, qui briguera un premier mandat à la présidence de la fédération étudiante. La plate-forme de cette dernière est centrée autour de quatre piliers:
- La santé et le bien-être des étudiants;
- Les enjeux étudiants;
- La justice sociale;
- La violence à caractère sexuel sur le campus;
- L'environnement
Entre autres, l'étudiante de 3e année souhaite mettre en place une formation obligatoire approfondie pour tous les nouveaux étudiants de l’Université portant sur le consentement et la violence à caractère sexuel dans un contexte universitaire.
En ce qui concerne les deux autres postes, Alain Lavoie et Emily Muckler sont à la recherche d'un deuxième mandat consécutif à leurs postes respectifs, c'est-à-dire la vice-présidence académique et interne.
Lavoie, étudiant en éducation, met l'accent sur la création de relation pour faire progresser les dossiers académiques de la FÉÉCUM. Sa plateforme stipule favoriser le rapprochement avec les représentants professoraux, notamment l’ABPPUM (Association des bibliothécaires, professeures et professeurs de l'Université de Moncton), sur les dossiers académiques.
Quant à Emily Muckler, originaire d'Edmundston, le dossier privilégié est celui de la restructuration de la Fédération. Alors que depuis quelques années, la FÉÉCUM entrevoit un processus de révision de sa structure qui s'avère désuète selon certains.
Pour la discussion officielle avec les candidats, contenant plus de détails sur la plate-forme et la vision de ces derniers: