Des moyens de pression chez les policiers de la sûreté du Québec du Nord-du-Québec

Un policier de la Sûreté du Québec marche de dos en direction de son véhicule de police
Jacques Painchaud, le président de l’association des policières et policiers provinciaux du Québec dit espérer pouvoir retourner à la table des négociations et progresser. Photo: (Sûreté du Québec)
Mickael Grandjean - CHEF - MatagamiQC | 11-12-2023
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Depuis la nuit du 6 au 7 décembre, 5700 policières et policiers de la sûreté du Québec de partout au Québec incluant la région Nord-du-Québec portent le pantalon cargo à motif de camouflage ou le jean durant leurs heures de travail. 

Une demande provenant de l’association des policières et policiers provinciaux du Québec qui réagit suite au refus du Conseil du trésor de bonifier les augmentations salariales des policiers de 21 pour cent sur cinq ans. Ces dernières étaient comprises dans une entente de principe rejeté en septembre dernier.

Comme le mentionne le président de cette association Jacques Painchaud, le droit de grève est interdit pour les policiers de la SQ d’où les moyens de visibilité mis de l’avant, il précise que cette consigne est usuelle et qu’elle a pour but de sensibiliser et permettre aux membres de démontrer leurs insatisfactions concernant le déroulement des négociations qui sont dans l’impasse.

S’il n’y a pas de développements futurs au sujet de ces négociations, Mr Painchaud avise qu’il pourrait s’ajouter de nouvelles mesures.

Un reportage de Mickael Grandjean :