Des controverses dans le dossier Fairy Creek

ligne d'activistes habillés de façon colorée en face à face avec une ligne de policiers en tenue bleu foncé
A Fairy Creek, les activistes sont souvent arrêtés par la GRC et déclarent à présent auprès de la Cour Suprême la violence qui en résulte. (Photo : Arvinoutside)
Angélique Germain - CILS - VictoriaBC | 08-02-2022
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Alors que l’injonction à Fairy Creek a été prolongée, les avocats des activistes déposent une requête d’abus de procédure, auprès de la Cour Suprême de la Colombie-Britannique. Les actions de la Gendarmerie Royale du Canada sont visées, qualifiées d’illégales, incluant violences et attouchements sexuels.

Retour dans le vif du sujet de cette forêt, dont la survie est tiraillée. Un document scientifique récent transmis à Radio Victoria indique certaines données contradictoires aux arguments de Teal Jones. Conrad Browne, directeur des partenariats autochtones et des relations stratégiques du Groupe Teal Jones, s’exprime en entrevue.

Un exemple de structure installée par les activistes pour retarder les coupes forestières. (Photo : Groupe Teal Jones - août 2021)

Entre les affaires juridiques opposant les activistes et la police, ainsi que l’entreprise forestière Teal Jones et les activistes, et maintenant des faits scientifiques face aux arguments de Teal Jones, sans pour autant toutes les citer, cela fait de nombreuses controverses.

Pour en connaître les détails, voici le reportage d’Angélique Germain :