Alia Alatassi peine à recruter des volontaires pour sa recherche sur l’acquisition du français en tant que langue seconde, dans le cadre de sa thèse à l’Université de Toronto. Face au calendrier qui se resserre, elle cherche à contacter des parents par tous les moyens.
La chercheuse est persuadée qu’apprendre le français après l’âge de maturation d’une langue, pour un enfant non francophone, n’est pas aussi compliqué que les théories des années 70 l’affirment. Grâce à une enquête auprès de plusieurs dizaines d’enfants de Toronto, elle affine sa thèse et souhaite améliorer les techniques d’apprentissage en cours dans les établissements.
Entrevue de Marine Ottogalli avec Alia Alatassi :